Endemol est un groupe de production télévisuelle hollandais, très connu dans le monde entier mais surtout en France. Depuis son existence, le groupe avait produit divers jeux numériques entre autres des émissions télévisées comme « Pointless » ou encore « Deal or no deal » mais surtout la série télé-réalité « Loft story ». Actuellement, il veut se lancer dans les jeux sociaux et a choisi la célèbre startup Plumbee comme partenaire. Endemol croit au casino social. Les jeux sociaux sont définis comme des jeux en ligne de tout genre et qui se jouent via les réseaux sociaux parmi lesquels s’affiche « Facebook ». La particularité de ces jeux réside dans le fait qu’à l’apparence, ils se jouent en multijoueurs, ce qui n’est pas réellement le cas. Mais comme on joue dans un réseau social, les jeux prennent ainsi des aspects multijoueurs. Les jeux sociaux sont le plus souvent gratuits. Il y a tout de même plusieurs options « payantes » qui ne sont pas vraiment trop chères mais qui, dans l’ensemble, procurent des revenus considérables aux développeurs. Ces « options » peuvent faire gagner à un joueur des millions de bénéfices chaque jour. Le secret est donc d’acheter des « options ». Mais depuis quelques années, ces jeux sociaux se sont transformés en jeux sociaux de casino. Il était tout à fait prévisible que les opérateurs de casinos terrestres y ont vu une énorme opportunité incluant surtout la face pratique des smartphones et des applications mobiles. Les applications de jeux de casinos se sont ensuite succédées comme le célèbre Big Fish Casino ou encore de DoubleDown Casino.
Plumbee, quant à elle, a été créée en 2011. Elle a été parmi les sociétés les plus récentes du marché. Une alliance « émissions TV/jeux sociaux », c’est ce qu’elle est entrain de bâtir avec Endemol. Son directeur annonce qu’Endemol sera pour Plumbee un actionnaire stratégique qui va lui permettre de monter au niveau international. L’objectif étant de battre la concurrence sur le marché mondial en créant des jeux innovants et attrayants. C’est l’investisseur français IDInvest qui a financé la création de Plumbee. La startup produit ainsi des jeux sociaux mélangés avec des jeux en argent réel. Actuellement, environ 250 000 joueurs se connectent sur facebook pour jouer au « Mirrorbal Slots » ou encore au « Bonza Casino ». Pour ce qui est le cas d’Endemol, le groupe s’affiche parmi les entreprises de production télévisuelles touchées par la crise. En réalité, les clients historiques ainsi que les radiodiffuseurs des émissions produites par ces entreprises ont tendance à réduire considérablement leurs investissements. Pour Endemol, le partenariat avec Plumbee est une très bonne alternative pour sortir de l’impasse.
Le groupe Barrière est sous les feux des projecteurs depuis que le jackpot progressif du Magic Casino Jackpot a été gagné dans un de ses établissements de jeu: le casino de Saint-Raphael. En effet, dans la nuit de vendredi à samedi, une gagnante a décroché la combinaison gagnante d’une des machines à sous progressive estampillée du nom Magic Casinos Jackpot et le montant s’est arrêté sur 7.524.035€. Cette gagnante a pu savourer en compagnie de son mari le champagne apporté par le directer du casino pour fêter un tel événement. Faut dire que cette cagnotte est la deuxième plus grande jamais gagnée depuis le lancement en septembre 2009 de ce jackpot progressif inter-casinos français. Le plus gros gain s’élève à plus de 9 millions d’euros et il a été gagné le 28 mars 2011 au casino de port Crouesty.Le Magic Casinos Jackpot regroupe 300 machines à sous de plusieurs groupes de casinos : 35 casinos du groupe Barrière, 17 casinos de Joagroupe, 16 casinos du groupe Tranchant, 6 casinos du groupe Émeraude et 18 casinos indépendants. Pas moins de 100 casinos terrestres français participent à cette opération qui est un succès fulgurant et qui attire toujours plus de joueurs. Avec seulement 1,5 euro de mise, il suffit d’avoir de la chance pour voir apparaître les 3 symboles gagnants. Le Magic Casinos jackpot est le concurrent direct du Partouche Mégapot, jackpot progressif propre au groupe Partouche et de quelques casinos indépendants.
Les casinos terrestres français ont compris que pour pouvoir concurrencer les casinos en ligne et attirer les joueurs très touchés par la baisse du pouvoir d’achat, ils doivent investir. Ainsi, de nombreux établissements de jeux terrestres ont installé des salles de jeux fumeurs, ont rénové les salles existantes, ont diversifié leurs animations… Mais la grande majorité d’entre eux ont misé sur de nouvelles machines à sous qui s’adressent à des joueurs modestes qui peuvent miser des sommes minimes. Le casino de Saint-Jean-de-Luz vient justement de faire l’acquisition de cinq nouveaux bandits manchots. Mais l’installation de ces nouvelles machines a dû se faire par une société spécialisée : la société de fourniture et de maintenance, plus communément appelée la SFM.