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Test de Lotos bingos dans trois casinos français

11 janvier 2014
Jeux de hasard très appréciés par les joueurs en milieu rural, les lotos bingos prennent enfin place au sein des casinos français. Après des mois et des mois d’attente, l’arrêté pour l’expérimentation a été finalement signé par Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur le 26 décembre dernier. C’est déjà un bon début même si l’essai n’est autorisé que pour 3 casinos terrestres français.

L’expérimentation durera ainsi 6 mois pour 3 établissements de jeux entre autres le casino du groupe Partouche situé à Aix en Provence, le casino du groupe Barrière à Lille et enfin un casino indépendant qui se trouve dans le département de la Loire. Selon le gérant du géant Partouche, une décision importante a été prise par le ministre de l’Intérieur parce que ces nouveaux jeux vont permettre aux casinos terrestres français de faire rebondir leur croissance et de faire face à la crise. Le principal objectif de l’Etat français est effectivement de donner un coup de pouce à ces casinos afin de les rendre plus compétitifs face aux jeux en ligne. Il s’agit donc d’attirer plus de clients vers les casinos terrestres et de créer une nouvelle vision sur les jeux dans les casinos terrestres. D’autant plus que ces jeux, bien qu’ils soient vieux, sont le genre de jeux qui rassemblent les amis, la famille et leur permettent de passer du bon temps ensemble. Mieux encore si on peut y jouer dans les casinos. La règle du loto bingo est simple. Une personne va tirer des numéros qui sont compris entre 1 et 75 pour le bingo et 1 à 90 pour le loto. Le but est d’avoir les numéros tirés sur son carton. Si les numéros sont alignés sur une ligne, c’est la « quine ». Le but final est de pouvoir compléter le carton entier. Les matériels nécessaires pour les jeux doivent être livrés d’ici peu. Pour le groupe Partouche, l’essai commencera certainement le 10 janvier. Rappelons que cet acte effectué par le ministre de l’Intérieur est le fruit d’une demande officielle des casinos terrestres réalisée en septembre dernier, revendiquant devant une commission, le droit d’exercer ce genre de jeux dans les établissements terrestres. Leurs objectifs étant d’amener de nouveaux profils de joueurs. De plus, ces jeux sont assez faciles à organiser même dans les petits casinos.

Cependant, il faut savoir que cette demande n’était pas sans obstacle. Et cet obstacle se nommait la Française des Jeux. Cette dernière était depuis le début contre cette nouvelle réglementation parce qu’en réalité, c’est elle qui monopolise ce genre de jeux à l’heure actuelle. Il faut dire qu’en 2012, elle s’était également opposée à l’ouverture des jeux d’argent en ligne dans l’Etat français. Mais au fil des mois, la réglementation a été consentie par les juges et le ministère. Et pour ces casinos terrestres, il faut se battre à tout prix pour faire avancer leurs établissements même si l’impact de ces jeux sur leurs revenus n’est pas encore bien déterminé. La mise en place définitive du loto bingo sera décidée au milieu de l’année 2014, toujours par le ministre de l’Intérieur.

Casinos français : De nouvelles règles pour 2014

3 janvier 2014
La nouvelle fut publiée par le Journal Officiel, le samedi 14 décembre 2013 dernier. Une nouvelle réglementation entrera en vigueur à partir du début janvier 2014 pour tous les casinos terrestres se trouvant dans le territoire français : une nouvelle Loi qui va permettre à ces établissements d’avoir plus de souplesse autant dans leurs horaires de fermeture que dans les jeux eux-mêmes.Les nouvelles règles s’appliquent aux 197 casinos existants en France. Plus précisément, ces casinos peuvent dorénavant modifier leurs horaires d’ouverture et de fermeture. En effet, il est tout à fait possible à partir de ce mois de janvier que la salle des machines à sous soit fermée mais que les tables de black jack restent encore accessibles. Cette Loi va ainsi permettre une certaine flexibilité au sein des casinos. Nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi avoir mis en place ces nouvelles règles. En réalité, cela fait depuis 2008 que les établissements français sont en difficulté face à la concurrence des casinos en ligne qui fourmillent sur le marché francophone. Les professionnels des casinos terrestres ont ainsi adressé une demande au Ministère de l’Intérieur afin d’établir une nouvelle Loi pour la survie de leurs établissements. Rappelons que pour l’année 2012, le produit brut des jeux ou PBJ a connu une baisse de 1,8% tandis que pendant l’année 2013, la baisse était de 4%. Déjà, en mai 2013, le Ministère de l’Intérieur a autorisé le retour de certains jeux dans les casinos français tels que le jeu de bataille (connu également sous le nom de « casinos war ». Ensuite, la « Roue de la fortune » a été légalisée. Grâce à cette réforme, les casinos terrestres vont ainsi pouvoir se développer à nouveau, apporter plus de jeux attractifs aux clients et aller de l’avant pour cette nouvelle année.

A partir de ce mois de janvier, de nouveaux jeux vont être accessibles dans tous les casinos français. On peut citer le « Lucky ladies » à la table de blackjack qui permettra aux joueurs d’obtenir des gains supplémentaires grâce à un pari supplémentaire. A part cela, les jeux d’argent de type électronique seront privilégiés avec de nouvelles versions, plus modernes, plus attrayantes. Parmi ces jeux sur machines électroniques, on a la roulette, le black jack ou le Hold’em poker. Tous ces jeux seront modernisés suivant les nouvelles technologies.

Dorénavant, les casinos ont aussi la permission de proposer le « Bad beat jackpot » qui se définit comme le bonus qu’on accorde à un joueur ayant perdu avec une grosse main dans une partie de poker. Ces nouveaux jeux ont été déjà expérimentés durant une période d’essai, depuis le 1er août 2013, par les établissements qui ont souhaité de le faire et à condition qu’ils aient obtenu le feu vert de la Commission consultative des jeux de cercles et de casinos. Par ailleurs, il faut rappeler que les nouvelles règles attribuées à chaque jeu ne sont pas obligatoires pour tous les casinos. Avant de jouer, il est toujours utile de demander les règles du jeu.

Les casinos français sont dans le rouge

25 septembre 2013

Groupe Partouche dans le rougeLes casinos français n’arrivent pas à sortir la tête de l’eau. Cela fait plusieurs années qu’ils peinent à reconquérir des joueurs qui se font plus rares et dont le pouvoir d’achat est en baisse. Malgré de nombreux efforts financiers pour embellir et rendre plus attractifs leurs établissements de jeux, l’exercice 2013 est en nette diminution. Le produit brut des jeux, c’est-à-dire la différence entre les mises des joueurs et les gains, autrement dit le chiffre d’affaires, avait déjà baissé de 1,8 % en 2012. Et l’année 2013 continue dans  cette lente descente avec une baisse qui atteint les 4 %.

L’ensemble de la profession des casinotiers de l’hexagone a ouvertement affiché son mécontentement et son désarroi face à cette situation très préoccupante. Début 2013, ils n’ont pas hésité à écrire au Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault, pour lui demander de l’aide, notamment d’aménager leurs horaires et d’exploiter de nouveaux jeux. Ils se plaignent d’une différence de traitement qui existe entre les casinotiers qui doivent expérimenter durant de longs mois de nouveaux jeux avant de pouvoir obtenir l’autorisation de les proposer à leur clientèle, et la Française des Jeux qui est autorisée à proposer ses jeux sans passer par un long circuit.

Les grands groupes de casinotiers français sont très préoccupés par leur avenir. Le groupe Partouche a enregistré pour la période de mai à juillet de cette année une baisse de 4,9 %, et le groupe Barrière une diminution de 19 % pour le seul mois de juillet. Ils sont bien conscients que la crise joue un rôle principal, mais ils considèrent également que la période du ramadan qui tombaient cette année en plein mois de juillet leur à causé un manque à gagner considérable.

On peut noter une grande amertume chez les casinotiers. Il est fort probable que le gouvernement continue à répondre favorablement à leurs demandes comme ils l’ont récemment fait en leur accordant le droit d’exploiter le jeu de cartes de la bataille. Il sait que si leur produit brut des jeux n’augmente pas rapidement, les 15 500 emplois risquent d’être menacés tout comme les prélèvements qui pourraient se retrouver en chute libre.

Diversification de l’offre dans les casinos terrestres de France

3 juin 2013

Les casinos ont durant de longues années tirés profit des machines à sous et des tables de jeux. Cette manne financière très importante leur a permis de maintenir leur place et de devenir la destination phare des joueurs. Malheureusement, depuis 5 ans, les casinos n’ont plus le vent en poupe et il suffit de voir les chiffres pour comprendre qu’ils se trouvent dans une situation inquiétante. En effet, moins d’un tiers du chiffre d’affaires provient des jeux d’argent. Pour ne pas être contraint de mettre la clé sous la porte, les établissements de jeux terrestres ont eu l’ingénieuse idée de divertir leurs activités pour ne pas proposer uniquement des jeux d’argent. Et il semble que cela leur a plutôt bien réussi puisque la grande majorité des casinos de l’hexagone a réussi à attirer de nouveau la clientèle.

Les spectacles, la clé du succès

Beaucoup d’entre eux ont investi dans la création de salles de spectacles afin de pouvoir présenter des concerts, des one man show… Des restaurants accessibles aux petites bourses ont permis d’attirer une clientèle moins fortunée et pour la grande majorité d’entre elle moins habituée à fréquenter ce genre de lieux.

Le casino d’Enghien-les-Bains a bien compris qu’en développant ces activités il arriverait à gagner beaucoup d’argent. Même si cet établissement de jeux qui est géré par le Groupe Barrière bénéficie d’une  grande renommée, il fait toujours beaucoup d’adeptes dans ses salles de machines à sous qui compte 500 appareils, ses tables de jeux, sa poker room…  Pourtant il arrive à tirer largement son épingle du jeu en proposant de très nombreux spectacles qui touchent des genres totalement variés (Bratsch, Mathieu Madenian, Mickaël Miro, Barbara Hendricks) tels que le classique, la comédie,les concerts… De cette manière, le casino a réussi à dépasser largement le chiffre d’affaires des établissements français.

Les maisons de jeux terrestres ont bien compris que la France se trouve dans une situation de crise persistante dont l’issue n’arrive pas du tout à se profiler à l’horizon. Certes, les français continuent à tenter leur chance en jouant, mais les sommes investies n’ont plus rien à voir avec les mises d’antan. Il faut donc faire avec son temps et arriver non seulement à attirer le joueur, mais également à faire en sorte pour qu’il revienne le plus souvent possible. C’est pourquoi les offres des casinos ne doivent pas uniquement se cantonner aux jeux.

Casinos en France : plus de jeux de casinos

24 mai 2013
En 2012, les joueurs français ont misé quotidiennement 89 millions d’euros. Les jeux de grattage arrivent à la première place des jeux préférés ce qui fait le bonheur de la Française des Jeux qui a ainsi pu enregistrer l’an passé un chiffre d’affaires de 5,4 milliards d’euros. Le PMU a également enregistré un résultat positif de l’ordre de 2,5 %, tout comme le secteur légal des jeux en ligne qui affiche 1 %. Mais il est fort probable que ce chiffre ne connaisse pas d’augmentation étant donné que les opérateurs de jeux sur internet se plaignent du peu d’engouement des français. Le grand Groupe Partouche a surpris l’ensemble de la profession en venant d’annoncer qu’il fermait définitivement son site de poker en ligne.
Malgré tous les efforts qu’il a déployés, il n’a pas réussi à faire face à de grosses pointures qui occupaient illégalement le marché depuis de nombreuses années et qui se sont fait une place confortable. Il déplore également que des sites tels que PokerStar ou Winamax aient été autorisé à occuper le marché français alors qu’ils ont installé leur siège social en dehors de la zone euro, ce qui leur permet de bénéficier d’avantages fiscaux beaucoup plus intéressants.Les casinos doivent faire face pour leur part à une baisse de leur produit brut des jeux de 1,8 %. Et les chiffres du premier trimestre 2013 ne font qu’accentuer ce déclin. Certes la crise n’est pas indifférente à ce phénomène, mais il y a d’autres facteurs qui y ont contribué tels que l’interdiction de fumer dans les lieux publics et l’ouverture à la concurrence des jeux en ligne. Cette légalisation des jeux sur internet a causé un lourd préjudice à l’ensemble des casinotiers terrestres. Les établissements terrestres ont fait savoir au Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault, qu’ils ne pouvaient plus faire face au déclin de leur activité. Dans un courrier qu’ils lui ont adressé le 20 décembre 2012 ils ont demandé l’autorisation d’aménager leurs horaires. Leur requête a été accordée très rapidement. Ils ont également fait savoir qu’ils souhaitaient proposer de nouveaux jeux. Cette demande a été entendue puisque le 11 mai dernier le Journal Officiel a  publié un décret qui autorise les casinos à proposer le jeu de carte la bataille, jeu très prisé par les joueurs (lire article Casino War dans les casinos français). Le gouvernement a compris tout l’enjeu économique que représentent les casinos. En effet, en 2012 les communes qui accueillent des établissements de jeux terrestres ont empoché 270 millions d’euros, et le gouvernement a récolté 1,1 milliard d’euros. Il était donc plus prudent d’accepter leurs demandes.

Casino War dans les casinos français

11 mai 2013

Les casinos terrestres en France peuvent offrir des tables de casino war, jeu très simple à jouer puisqu’il consiste à affronter le croupier avec la carte la plus élevée. Ce jeu de cartes est aussi appelé jeu de bataille. Un décret est sorti le 11 mai 2013 et autorise l’ensemble des casinos français à proposer à leurs clients le jeu de bataille. Les casinos terrestres de France approuvent ce geste du ministère de l’Intérieur puisqu’il permettra d’attirer de nouveaux joueurs.

Testé durant six mois dans trois casinos, Casino War va compléter la gamme des jeux de table déjà disponibles: baccarat, blackjack, roulette, craps ou poker. Face à la crise économique et l’interdiction de fumer, les casinos français souffrent d’une baisse du produit brut des jeux. En effet, les joueurs ont quelque peu déserté les casinos ou jouent moins à cause d’un budget limité. Ce qui explique que les casinos renouvellent sans cesse dans de nouvelles machines à sous ou attendent que le ministère de l’Intérieur leur autorise de nouveaux jeux de tables comme c’est le cas aujourd’hui avec le jeu de bataille – ou Casino War. L’émergence des live casinos a également une part de responsabilité puisque les joueurs n’ont plus besoin de se déplacer pour jouer dans des tables de jeu avec de vraies croupières dont Celtic Casino ou Fairway Casino sont les meilleurs pour les joueurs français et Casino Tropez tire son épingle du jeu pour les joueurs hors France.

Ce jeu est également accessible dans les casinos en ligne tout comme le live baccarat ou la roulette. Casino War est un jeu populaire très simple à maîtriser et la chance est l’élément essentiel pour gagner un peu comme le jeu de machine à sous qui n’exige pas une solide expérience pour connaitre les principes du jeu.

MyBet casino : Bye-Bye France

1 mai 2013
Jusqu’au 30 avril 2013, trois grandes marques se partageaient le marché du live casino en France : Celtic Casino, Fairway casino et Mybet Casino. Les choses vont évoluer ces prochains jours depuis que Mybet Casino a pris de court ses joueurs en leur annonçant, pas plus tard que le 30 avril 2013, que les joueurs français ne pourront plus miser dans leur casino. En effet, Mybet Casino n’accepte plus les joueurs français et cette tendance était quelque peu prévisible puisque comme nous l’avions annoncé lors d’un de nos papiers, Mybet Casino au coeur d’une polémique en France, Mybet Casino refusait les joueurs français provenant du lien par défaut mais acceptait les joueurs provenant de lien d’affiliation. Mybet Casino sort bien du marché français et n’accepte plus aucun joueur français vivant en France. Quant aux joueurs francophones vivant en dehors de l’Hexagone, ils peuvent toujours profiter des tables de baccarat, roulette et blackjack.

Celtic Casino : #1 en France

Le retrait de Mybet Casino du paysage du live casino en France fait deux heureux: Celtic Casino et Fairway casino. Ces deux casinos en direct vont profiter de ce retrait pour asseoir leur confortable notoriété puisque ces deux casinos acceptent les joueurs de France. Celtic Casino a une bonne carte à jouer pour rafler une grosse part de marché en s’accaparant les joueurs français de Mybet Casino. Il est important de préciser que les tables de jeu de Celtic Casino n’ont rien à envier à celles de Mybet casino et les joueurs pourront profiter d’excellentes conditions de jeux.

Comme dit le proverbe « le malheur des uns fait le bonheur des autres » et le retrait de Mybet de France donnera les moyens à Celtic Casino et Fairway casino à s’approprier le marché du live dealers en France à moins que d’autres casinos viennent s’implanter sur ce créneau.

Succès des machines à sous dans les casinos français

8 avril 2013
Les casinos terrestres de France rencontrent des difficultés financières assez importantes selon les établissements de jeux. Les mesures imposées telles que les contrôles d’identité à l’entrée des casinos en 2006, l’interdiction de fumer dans les lieux publics, la légalisation des jeux d’argent en ligne en 2010 (poker, paris sportifs et courses hippiques) , et la crise économique continue leur ont causé beaucoup de préjudice.

Pour certains casinos en dur, la situation est tellement inquiétante qu’ils craignent d’être contraints de mettre la clé sous la porte. Pour éviter ce cas de figure extrême, les dirigeants de ces casinos n’hésitent pas à redoubler d’efforts pour être de nouveau attractif et se démarquer de la concurrence. Ainsi, de gros investissements ont été faits tant dans le domaine des jeux que des activités annexes. Les casinos ont réussi le pari d’attirer la clientèle en lui proposant des animations, des soirées dansantes, des spectacles…, en ouvrant des restaurants… Ils ont de ce fait pu limiter les dégâts, voire pour une partie d’entre eux augmenter le taux de fréquentation et enregistrer des chiffres en hausse.

Pourtant, l’activité principale des casinos reste les jeux, surtout les machines à sous qui connaissent un succès qui ne s’est pas démenti au fil des ans. Les joueurs viennent se détendre sur les nombreux bandits manchots tout en essayant de décrocher des jackpots pharaoniques surtout depuis que les jackpots multisites ont fait leur apparition comme le Partouche Megapot ou le Magic Casinos Jackpot. La connexion de nombreuses machines à sous de plusieurs casinos de l’hexagone permettent au joueur d’empocher un jackpot commun qui augmente au fur et à mesure des mises enregistrées. Même si les bandits manchots demeurent les jeux les plus appréciés, les dirigeants des casinos redoublent d’efforts pour investir dans des machines dites de nouvelle génération qui séduiront les joueurs. Le casino de Santenay vient de faire l’acquisition de 23 nouvelles machines, qui proposent des jeux totalement innovants mais qui s’adressent à une clientèle moins fortunée, crise oblige. Les mises sont de l’ordre du centime, ce qui permet à l’établissement de jeux de s’adresser à une clientèle plus large. Le directeur du casino, Arnaud Jalaber, est persuadé que cet investissement important de l’ordre de 300 000 euros aura des répercussions importantes. Il ne veut néanmoins pas lésiner sur les moyens dans le domaine des jeux de tables qui attirent une clientèle plus vaste, notamment grâce au poker.

Discussions sur le projet de casino de Vannes

26 octobre 2012

Le projet de casino à Vannes daté déjà de plusieurs années refait surface après la décision du maire David Robo. Cette décision a suscité l’intérêt de plusieurs personnes parmi cela le maire d’Arzon Gérard Labove qui s’est posé directement la question : « Y aura-t-il des morts ? ». Un dossier qui a été laissé pour compte des années et qui attire l’attention des casinos concurrents qui se demandent de l’effet de sa mise en route.

Une menace pour la part de marché du casino d’Arzon, du fait que les joueurs dans ce lieu proviennent tous près de la moitié de Vannes. Une affirmation est alors lancée,  ce sera un retour au foyer des clients actuels du casino d’Arzon. Le casino d’Arzon aura des difficultés à s’en remettre si le projet se réalise du côté de Vannes.

Le gâteau sera ainsi partagé avec plusieurs casinos et cela fait monter les craintes que si le marché n’est pas si rentable, est ce que Joa restera ou est ce qu’il abandonnera pour d’autres opportunités ?

L’objectif du maire d’Arzan est clair, il veut doter Vannes d’un casino qui pourra apporter un flux financier considérable pour la commune. Les intérêts financiers sont priorisés pour la croissance de la commune. Ce projet prendra ainsi place au milieu du parc du Golfe juste à côté de la gare maritime, du parc des expositions et de l’hôtel Mercure. La qualité est de mise pour le maire, il demande l’installation des restaurants, des salles de jeux et également des espaces pour les futurs spectacles.

Le maire d’Arzon se trouve en plein doute par le fait qu’il n’a pas de garantie vis-à-vis de la décision de Joacasino quand l’expiration de délégation de service public prendra fin en 2018. Néanmoins, c’est le ministère de l’intérieur qui décidera du sort de ce nouveau casino. En effet, c’est le ministère qui donne les autorisations d’exploitation des casinos et des jeux. C’est à ce moment que les casinotiers viennent investir à la conquête du marché.

La concurrence pour la gestion de ce grand marché est annoncée, les principaux concurrents sont le SBEC (Société bretonne d’exploitation des casinos) et Joa. Étant donné que le futur gestionnaire sera choisi en mi-décembre, les yeux des financiers sont braqués sur l’avenir de ce nouveau projet.  Un projet qui portera ses fruits tant pour la population tant pour les joueurs et les investisseurs. Cela peut être valable pour certaines personnes, mais d’autres pensent que l’installation d’un tel établissement attirera les pauvres à encore s’appauvrir de plus en plus. Les casinotiers affirment que le marché du futur casino vannetais n’est pas si grand qu’il semble paraître. Ce qui lui rendra plus grand c’est le fait de regrouper en son sein les clients des autres casinos voisins. Ce qui entraine leur conclusion que c’est un marché non extensible.

La prévision annonce que le projet pourra aboutir en 2023 et que la porte du casino sera prête à ouvrir ses portes cette même année. Le casino arrivera à avoir sa place au niveau du marché malgré ses concurrents, non pas en se basant tout simplement sur les clients des autres casinos voisins, mais surtout en se basant sur les touristes et les visiteurs étrangers.

A qui doit revenir la taxe sur les casinos terrestres francais?

24 septembre 2012

Les casinos sont de véritables mannes financières pour les communes. Elles bénéficient de deux types de prélèvement : un prélèvement progressif de 10 % prélevé par l’Etat, et un second prélèvement de 15% du produit brut des jeux après abattement de 25 %. Selon les communes, ces sommes peuvent être colossales comme c’est le cas pour Enghien-les-bains qui empoche 30 millions d’euros par an.

Le Député de la première circonscription du Finistère et Président de la commission des lois, Jean-Jacques Urvoas, estime que le prélèvement des jeux ne devrait pas rentrer uniquement dans les caisses des communes mais aux intercommunalités. Cette annonce a entrainé une très vive polémique à laquelle l’intéressé s’est empressé de s’expliquer. Selon lui, les clients des casinos ne sont pas que des habitants des alentours, mais ce sont en majorité des touristes. C’est la raison pour laquelle les communes ne sont pas en droit de récupérer la totalité du gâteau. Jean-François Cot, Président du Syndicats des Casinos de France, considère que l’idée est plutôt intéressante. Selon lui, cela ne changera rien pour les casinos puisqu’ils devront de toutes les façons payer. De plus, cela permettrait de limiter la création de casinos qui pourraient considérablement nuire aux établissements déjà implantés. Les casinos ne se portent déjà pas très bien en raison de l’interdiction de fumer dans les lieux publics, la crise et les sites de casinos en ligne, et il faut au maximum les protéger. Néanmoins, il y met un petit bémol : si l’argent était reversé aux intercommunalités, les casinos ne pourraient plus financer certains événements comme c’est actuellement le cas.

Christian Pennanech, le maire de Bénodet considère que tout cela n’est en réalité qu’une querelle politique de divers bords. D’après ses dires, Jean-Jacques Urvoas n’accepte pas que les Bénodetois ne votent pas pour lui. Le maire explique que la somme prélevée qui s’élève à 1,2 millions d’euros par an est investie dans le développement touristique de la commune. Si la commune ne devait plus percevoir cette somme, l’économie locale s’en trouverait affectée.